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AVEC OPÉRA NOMADE

L'ITALIENNE À ALGER

MADAME BUTTERFLY

La presse en parle

« En fosse, l’orchestre Les Métamorphoses (une trentaine de musiciens) est admirablement dirigé par Amaury du Closel. Beaucoup de professionnalisme, une grande précision rythmique, mais surtout un vrai sens dramatique, avec une respiration large et sensuelle qui porte le plateau. »

Opéra Magazine, 2017

« L’effectif réduit des chœurs, ici limités à huit voix féminines puis deux masculines, comme de l’orchestre Les Métamorphoses composé d’une petite trentaine de musiciens, ne dénature par le dramatisme de Puccini grâce au sérieux et à l’investissement d’une fosse menée efficacement par Amaury du Closel. Evidemment, l’ampleur orchestrale n’est pas attendue, mais les envolées tragiques de l’ouvrage répondent à l’appel, cette configuration donnant aussi toute sa délicatesse au chœur de femmes du premier acte, comme à la coloration orientale sortie tout droit de l’imagination de Puccini . »

RES MUSICA, janvier 2019

LA GRANDE DUCHESSE DE GEROLSTEIN

LA FLÛTE ENCHANTÉE

La presse en parle

«L’Orchestre Opéra Nomade (Les Métamorphoses) fait oublier ses effectifs limités par une splendeur sonore indéniable...»

Opéra Magazine, 2018

« Amaury du Closel peut légitiment partager la couronne. Il conduit sans ciller l’Orchestre Opéra Nomade d’une battue vigoureuse. Sa dynamique narrative enflamme les pupitres des vents et pousse les cordes dans leurs retranchements. L’orchestre prend manifestement plaisir à saisir ainsi traits et accents à bras le corps afin d’exalter les phrasés. »

Opéra Magazine, mars 2018

« Le plateau vocal ne peut pas souffrir des attentifs et excellents musiciens de l’Opéra Nomade sous la direction d’Amaury du Closel, fin connaisseur du répertoire mozartien. Les intentions de l’orchestre sont toujours claires, les accents et les couleurs soignés, les traits précis, particulièrement chez les cordes... Jamais on ne peut se plaindre d’un mauvais équilibre avec le plateau. »

Ôlyrix, mars 2018 

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